Votre pause-café

      Tôt ou presque, comme tout le monde je me lève le matin, il faisait toujours nuit, le calme régissait la pièce, et le désordre la combla, mes traits de visages ne sont toujours pas à leur place, heureusement que je n'ai pas de cheveu, sinon je ressemblais bien à une bête de foret, l'ambiance floue, la gorge sèche, et comme si cela ne suffisait pas je commençais déjà à penser de ce que ça serait ma journée, et les tonnes de tâches qui m'attendaient comme les montagnes les plus accidentés et plus haut que mes chagrins, je me sens un peu l'esclave de ma vie, ou précisément, l’esclave de ce civisme mal adapté à ma nature, la nature dont je pourrais en faire corps avec, cette nature dont l'espace et le temps constituaient la seule alchimie de la vie, où chaque instant fut inoubliable et à savourer, dans tous les cas, il exista bien un tard quelque part dont j'arrivais pas à mettre la main dessus, mais en attendant je suis toujours entrains de subir l'entro

Je commence mon texte par le plaisir culinaire, manger c'est essentiel pour rester en vie et pour développer, et protéger son corps contre les maladies et les carences alimentaires, mais plus que cela il exista la façon et la manière de le faire, c'est d'accentuer le plaisir de manger, et dont en extraire les saveurs et les senteurs, la façon de présenter les plats ou les aliments en général faisait partie de cette mise en scène hors du commun, à notre époque comme dans les temps anciens, les cuisiniers ou les Cuisto ( c'est un mot que j'aime ), ils inventèrent et concoctèrent de plus en plus les méthodes pour faire ou préparer à manger, qui sont revues par leur disciples, ainsi  jusqu'à nos jours, où nous trouvions  une diversité pas possible, et de possibilité de faire marier les aliments, les plante, les épices, et mille et une façons de les faire cuire, sans oublier le côté artistique culinaire dont plusieurs personne ont excellé. Être un cordant bleu dan

Une pause café n'a pas de temps précis, c'est un simplement un moment pour soi.

Chaque matin quand je me lève ,  je sentis  toujours la même chose, le chaos absolu, je n'entendais rien, je ne voyais rien, mes pensées furent éparpillées, en gros et pendant un moment, je n'existai point , et puis petit à petit, je commençai à faire place dans le monde des vivants, je commençai à sentir mon corps, l'air froid, et le bruissement de mon entourage, la seule chose dont j'eus toujours envie, c'est de boire de l'eau, beaucoup d'eau, et de me placer devant une fenêtre, j'aimai regarder mon petit monde depuis ma fenêtre, et être effleuré par le vent, c'est comme si je me réincarnai à nouveau, après ma mort que j'ai subissait toute la nuit, mais les gens ne me comprirent point, ils crurent que je suis une personne de mauvaise humeur, or messieurs je ne suis que ce que je suis, inspiré par ma nature, c'est tout.