Le Discours.

En route vers mon lieu de travail, un homme de certain âge m'adressa la parole " vous,... c'est bien vous que je cherchais depuis une éternité" j'étais choquer puisque je le connaissais pas, même s'il semblait pas un homme mal honnête,  il avait des lunettes fines, habillé d'un costume bien cousue, une paire de chaussures mates bien ciré, et me dit " Tant d'année que je vous cherchais juste pour vous informez de ce que vous ignorer, chose qui changera peut être votre vie à jamais", je m'interroga de ce qu'il y a bien important qu'un inconnu pourrait me faire connaître, je lui ai dis " Je vous connais pas Mr, si tu commence par vous présentez ", avec un ton rassurant le monsieur a dit: " Surtout ne trouve pas  insensé ce qu'il s'en suivait , .... je suis votre inconscient, et j'ai tant tenté de te parler mais hélas la chose était très difficile,  et le fardeau devînt lourd sur l'être que je suis, et je préfère l'achever aujourd'hui,   écoutez,  mon cher l'autre moi, jusqu'à ce jour je constate que vous vivez  pas, vous perdez votre temps dans ce que vous appelez les nécessités de l'époque, c'est juste une illusion,  la vie c'est d'être corps et âme avec votre existence, il y a pas que l'argent,  le bien être matériel, les maisons les châteaux,  les choses que font autrui c'est pas forcément la raison d'y être, la vie durera forcément pas longtemps, c'est pour ça que vous deviez point la  gaspier entièrement dans une seule chose, en oubliant la santé, la famille, les biens aimés, la modestie,  la compatis,  l'entre aide, le sourire, et tant de bon chose de la vie, et le très important de tous c'est, de marquer votre vie, ne soyez pas de passage dans ce bas monde, mais laissez votre emprunt à jamais, c'est la fin de mon discours, et ma parole est achevé,  le reste c'est à vous,  et vous seule qui pourra le mettre en oeuvre. "
Et il a partie, en me laissant comme un pieu cloué sur place, et il s'est fondu dans mon champs de vision.

L'histoire est terminé, ce fût un plaisir de rester avec moi jusqu'à la fin.

Zak de quelque part