Votre pause-café

Une calèche s'arrêta devant la porte, une botte cuir noire bien cirée atterrit sur la marche, puis sur le sol, et enleva avec elle  la poussière du bout de la chaussé du chemin, et l'autre botte se déplaça de la sorte à quelque détail prés, le gentilhomme se dressa d'une allure de militaire, puis alla vers la porte, en prenant le temps de redresser son béret, et tapa fort sur la porte, une voix lointaine avec un bruissement de pas ,qui précipitait vers l’entrée, et qui devenaient de plus en plus fort, précédé par une voix charmante qui demanda de qui c’était la personne derrière la porte, et le gentilhomme avec sa voix grave, profond, et ronronnent, répondit : « la fin de shift ne vient jamaiiiiiiis, quand ça sera fini ? »

A chaque fois que me regard sur une glace je reconnais pas celui que je voyais, cool au moins j'ai une personne avec laquelle je pourrais parler de mes pensées les plus folles. Zak de quelque part

Quand le silence qui alimenta l'ambiance nocturne,  commençait à donner place à ce crépuscule magnifiquement crayonné dans notre haut de sa grandeur le ciel, les ficelles de la lumière commencèrent doucement comme s'elles ont peur de nous faire le tord de la métamorphose , puis la brise changea de camp, et par tous les lieux commençait à siffler ou juste murmurer,  dont les feuilles mortes se laissaient aller pour un bruissement magique, puis les autres vivantes leur accompagnaient avec leurs friselis magnifique, les couleurs apparaissaient depuis l'entrailles de la noirceur comme la vie qui sortait de la terre, mille fois plus beau à chaque instant venu, et la vie reprenait cette belle entropie, dont la bête et la fleure devenaient témoin, de ces instants incroyables entre le jour natif,  et la nuit défunte. Plus que beau c'est le charme de la dame nature qui fut la notre. Zak de quelque part

Une tasse de café raconta une histoire, l'histoire de ces gens simples, et modestes, qui travaillèrent dure pour vivre dignement ou presque, l'histoire des ces silhouettes qui se déplaçaient lentement dans les grands champs de café sous l'oeil et l'emprise du soleil, sans se plaindre, une histoire passionnente  mais elle ne pouvait être vécu que par les âmes de taille certaines , l'histoire d'un parfum qui caressait les esprits au fond le plus profond qu'on atteindra point, une tasse de café à le pouvoir de chérir, et de guérir ceux qui n'en pouvaient plus Zak de quelque part

Bien le bonsoir, Que je me réveillasse chaque jour Que je fisse  tout le travail Que je jouasse mon rôle de chef Que je fusse  bon et correcte Que je fasse bien et de mon mieux Que je me tuasse  à être meilleurs Helas! Cela restait insuffisant Paradoxalement

Mes pieds, que j'adore , et que j'ai ignoré  une bonne portion  de ma vie, ceux qui supportent le fardeau de mon poids et la sauvagerie de mes pas, désolé mes chers pieds, je vais prendre soin de vous durant toute ma vie. Pédicurement