Votre pause-café

Imaginez-vous pour un instant, que vous vous trouviez dans le fond profond de l'Alaska, un endroit paisible, accidenté, et rude, pas de maison, ni habilles, ni de grand supermarché, et les biens, ni les joyous, n'auront plus de valeurs, rien que toi au milieu de nulle part, dorénavant tu devrais vivre une vie parmi la plus primitive qui pourra exister, tu devrais faire tout toi même, tes vêtements seront de la peau et de la laine, et tu habites les bois, tu manges le gibier, rien n'est accessible sauf si tu faisais l'effort de l'acquérir, les choses changeront de valeur, et le temps s'écoulera lentement, les instants prendront de l'ampleur, et devinent le sens de ton existance, chaque instant fut un défis et chaque jour devint une vie, à ce moment là tu seras le sens du mot survivre, et tu oublis le sens du mot regret, tu effleureras  la beauté de l'existence et celle  de notre cher  madame nature, même si la mort venu, il te trouvera courage et rassasié

La journée s'est achevée, je suis dans le transport entrain de contempler la lumière de l'éclairage public, que je trouva magique, le fait qu'il existait  des lampes en dehors,  qui illuminaient les ruelles sombre de la ville.

Une journée c'est le parcours de toute une vie en miniature, il va falloir la consommer proprement.

LE SAGE La suite de l’histoire est fort probable, oui, je la confirmerai mille et une fois, puisque le sage devint minable comme jamais, or ses disciples fuirent   l’homme qui a marqué son époque, mais le problème n’est guère le pauvre sage, mais se sont les hommes qui perdurent leur valeurs. Hélas c’est le cas de notre époque, malheureux ceux qui fuyaient le savoir et suivaient les parures.

J’admire   les gens qui se respectent et qui respectaient autrui, j’aime énormément les gens qui ont toujours respecté   le don de la vie pour le meilleurs et pour le pire, beaucoup plus ceux qui réfléchissent et qui méditent, j’admire ceux qui ont le sourire et qui arrivent à  le faire apparaitre sur le visage des autres.

  Réflexion nocturne Une fois la nuit venue, je me sentais toujours très bien dans ma peau, et mon esprit n’arrêtait pas de penser, or toute mes nuits sont longues, mais comme même le je les ai trouvé toutes magnifiques. Je pense que la nuit est trop probable le temps que les grands esprits ont exploité pour l'invention, et la création.

Le mode repeat, est le tueur de la progression.

N'attendez  pas qu'on vous fasse plaisir, Ça marche pas ainsi.

Je suis rien par rapport au cosmos, mais j'ai tendance  à l'oublier, je suis pas trop fière de moi. Zak de quelque part