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Articles

Affichage des articles du février, 2018

Café de dimanche matin

Les couloirs du désespoir

Les couloirs du désespoir, pour moi c'est les grandes salles d'attente des hôpitaux publiques; dans lesquelles  attendaient la visite de cette personne qui allait peut être soulager leurs souffrances, des gens qui ont le regarde vers la terre, comme s'ils attendais le jour quand ils passeront dans son ventre, ils ont plus besoin de pleurer ni de crier, puisque c'est leurs âmes qui le faisaient, visages et allures mélancoliques, voix profonde et atténué, regarde froid donnant  l'impression qu'ils pouvaient voir l'au delà, oeil sec blanc jaunâtre, comme c'est triste de se retrouver dans des endroit pareil. Je sentais  une grave empathie vers ces personnes qui attendaient une douleur chronique ou une mort rapide. Je suis vraiment désolé de vous faire part de mon état d'âme, mais c'est une vérité à ne pas ignorer. Zak de quelque part

Un homme heureux

Vous êtes  bien au chaud chez vous, fort probable que vous avez déjà pris votre dîner, et forcément vous êtes en bonne santé, vous avez de l'eau dans vos robinets, et dans la cuisine il vous reste au moins du thé  du sucre du pain, des olives, et quelque biscuits,  un matelas confortable sur laquelle vous vous prennez sommeil, et si je continue je terminerais pas avant la fin du mois,  tout cela et si vous dites que vous êtes pas heureux c'est que vous pensez pas à ce que vous possédiez déjà, je vous dis ca, c'est qu'aujourd'hui, que j'ai entendu une histoire à dormir  sur mes deux oreilles d'une personne qui a vécu y a  pas très longtemps, il n'a pas acquis un niveau intellectuel recherché, mais je pouvais vous rassurez qu'il a pu atteindre des grands niveau du savoir vivre, avec la confirmation  de toute une ville, il s'appella SI MADANI , un épicier modeste qui vivait dans une petite ville marocaine tellement il avait le sens d'empathie, l

Première équipe Microsoft

La première équipe d'employés de l'entreprise Microsoft (Bill Gates en bas à gauche et Paul Allen en bas à droite) 1978 

Oreste e Pilade, 1957 Oil on canvas. 20 × 41 cm

Charlie Chaplin 1925

Esprit merveilleux

Vous vous êtes jamais amusés comme des fous, avec la poussière qui s'illumine dans les rayons de soleil qui s'échappent des vitres de nos fenêtres, peu de chose nous faisait rêver. J'aimerais bien retrouver l'état d’esprit de cette époque. Zak de quelque part

Rêve

Pensé